Les alpes

Les grandes Alpes


Lundi 4 août

Nous y voilà, 11h15 arrivée, en compagnie de Nanou, sur l’aire de service de l’Isle d ‘Abeau. Tom91 abreuve son ER6. Très vite, Vinz44 nous rejoint, puis Firou… Il ne manque plus que les nordistes et les bourguignons. 12h30, l’équipe est au complet, avec l’arrivée de Panthèrenoire, Acidburn, Pierrot911 et Bulldog 21.

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Moteur c’est parti…. Par la Tour du pin, Morestel. Arrêt déjeuner sur une terrasse accueillante, autour d’un steak à tomber…

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Une fois rassasiés, nous repartons vers le lac du Bourget. Quelques enchaînements de grandes courbes avalées en mode balade, rythme cool. Tout monde suit, tranquille jusqu’au pied du col du chat (638 m.) Là, la cadence augmente quelque peu, mais sans plus. Jusqu’à qu’a l’arrêt au-dessus du lac du Bourget

Tain c’est beau

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L’équipe au complet
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Arrêt à Aix les bains, pour abreuver les montures et leurs cavaliers, car sans me vanter il fait chaud. Snopfrelou nous quitte. Après quelques approximations sur la direction à prendre. Nous attaquons la montée du Revard. Hurlement rageur d’un 636, Pierrot passe comme une balle… Je me disais aussi, ça ne pouvait pas durer ce rythme de lopette. On se regroupe au sommet

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Traversée du parc des Bauges à une cadence rapide mais sans plus….

Vers 18h00, arrivée au gîte

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Pas mal le cadre, non !

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Mardi 5 août

9h00, tout le monde est d’attaque.

N’est-ce pas Panthère

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Direction, le lac d’Annecy par une route qui virolote à souhait sur 30 Km. Je bouchonne tout le monde, je n’y arrive pas. Derrière je les sens chauds/bouillants, j’entends derrière moi s’impatienter le YFZ (Faudrait être sourd pour ne pas l’entendre), la 636, le R6, et le CB 500 RRR… Enfin tous

Pause viennoiserie, au bord du lac d’Annecy où nous décidons de changer de tactique. Nous nous fixons un point de regroupement afin que chacun puisse rouler à son rythme. Dont acte, rendez vous à Thône. une montée de rêve de 20 Km, avalée à une cadence… Inavouable.
Nous nous regroupons pour faire le plein.

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Prochain regroupement au sommet du col des Aravis. Le rythme est donné, ça arsouille sec, Pierrot passe comme une flèche dans la montée du col…

Arrêt au Aravis (1486 m.)

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Streap d'altitude

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Pierrot, la tête dans les nuages

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Descente vers Flumet, Pierrot prend de l’avance pour photographier, Nous partons à une minute d’intervalle et croyez-moi, on n’amuse pas la galerie… Tom, qui n’a pas commencé son herbier, y va joyeusement

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Après un concert de rupteur sous le tunnel de Flumet en pensant à MacFly (Imaginez, 8 moto au rupteur) Pique-nique rapide sur la parking d’Intermachin de Praz sur Arly et Gazzzzzzz, apparemment tout le monde veut en découdre. Le col des Saisies (1650 m.) est franchi façon : Joe Bar team. Les bandes de peur n’ont qu’à bien se tenir.

Regroupement à Beaufort (Célèbre pour son fromage sec, hein Panthère !)

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Il fait toujours aussi chaud, décision est prise de prendre un pot au barrage de Roselend, par le col de Méraillet (1605 m.)

Je cite TYves: « Bon on a bien arsouillé, on y va cool, mode balade » Acquiescement général.
Il ouvre les 11 Kms de montée, tain quelle route, fi des promesse Il ouvre…Et en grand, le binôme Buldog/Triumph dans mes échappements. Un joli tout-droit dans une épingle, ne nous calme pas. Il n’arrive à décramponner Bulldog, que grâce à une technique de lopette (Doublé une voiture en bout de ligne droite).

Arrêt à la retenue du Roselend. tout le monde à la banane. Petit pot en terrasse dans un décor de rêve

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Désaltérés, nous entamons la montée de Cormet de Roselend (1967 m.) Rien ne calme cette bande de furieux… Je suis certain, que les touristes ont encore dans les oreilles le rugissement de huit bécanes les passant, limite rupteur, comme des balles entre deux virages.

Petite pause, avant de descendre sur Bourg St Maurice

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Arrivée au gîte à Peisey-Nancroix, Panthère qui galère un peu dans les lacets propose de faire une petite séance de rattrapage. Voyons, voyons, la montée à la Rosière (1850 m.) semble parfaite… Allez GO !

La montée est avalée à un rythme d’enfer, je n’ai jamais passé courbes et épingles aussi vite. Quant à la descente, l’arsouille monumental avec Acidburn restera gravé dans ma mémoire. Et de plus la séance a porté ces fruits, panthère devient la reine de l’épingle….

Crevés, mais aux anges on s'improvise une petit apéro assis par terre près des motos...

Mercredi 6 août

Départ vers 8h00, direction le col de l’Iseran (2764 m.) Courte pause au sommet, ça pèle !

Suit un long parcours dans la vallée, je me dis : tiens on va en profiter pour se reposer un peu…. Tu parles…. Des malades mentaux, les quelques 50 Kms tout en grandes courbes, entre Lancebourg et St Michel de Maurienne sont prétexte de nouveau à une arsouille démente.

La montée du col du Télégraphe (1565 m.) est trop géniale pour jouer aux touristes. Ca attaque comme des malades. Pause déjeuner au sommet

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Avant d’attaquer, c’est bien le mot le col du Galibier (2704 m.) Quel pied ! On roule vraiment très fort…

Mais quel paysage au sommet.

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Petite anecdote : Dans les derniers virages, un photographe professionnel se couche sur la route pour photographier les motards… Croyez-moi ça surprend !

Dans la descente, un troupeau de vaches nous bloque un instant, avant que l’on descende sur le col du Lautaret (2058 m.) puis Briançon. Où je me plante joyeusement dans mon rot de bouc, ce qui nous permet de faire un tite pause, car nous sommes tous crevés… C’est qu’il nous reste deux col au-dessus de 2000 mètres…

Comme par miracle cette fatigue disparaît, dès les premiers virages du col de L’Isoard (2360 m.), Pierrot, Bulldog ne sont bientôt plus qu’un petit point noir devant tant ils allument, les malades… Courte pause au sommet, avant de descendre vers Guillestre, le rythme ne faibli pas, si bien que nous perdons Vinz, Pierrot repart le chercher, pendant que nous abreuvons les bylettes, c’est que ça consomme à cette cadence.

Bon ce n’est pas le tout, il nous reste le col de Vars (2109 m.) à soumettre. Apparemment, le petit repos à été bénéfique, puisque les 10 Km de montée sont avalés en moins de 10 minutes….

Nous profitons de la douceur à cette altitude pour nous refaire un peu…. Enfin presque puisque Panthère et Pierrot improvisent une séance d’entraînement au :

Déhanché.
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Welling

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stoppy

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Et même en duo
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Pendant que Tom, nous explique comment il a franchi tous les lacets : entrée en Stoppy et sortie en welling… Si je vous assure. Notre « petite fleur » n’est pas un mitho…

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Arrivée à Larche, vers 6h30, crevés, lessivés… Mais quel pied !

Jeudi 7 août


Tout le monde est prêt dès 8h00, Grand soleil….

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Direction la Cime de la Bonette (2806 m.) Route la plus haute d’Europe.

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Imaginez ! 24 kms de monté, composé de toutes les espèces de virages, de la courbe au lacet, sur un revêtement parfait (merci au passage du tour de France), digne d’un circuit… Et le tout dans un décor somptueux. Tous nous en donnons à cœur joie, même « Petite fleur » oubli un instant son herbier

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Séance de photo organisée par maître Pierrot, avant de redescendre vers St Etienne de Tinée

Par là :

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A St Etienne de Tinée, pause café, faut bien digérer ces 50 Kms de ouf…

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Pour rejoindre, St Sauveur de Tinée, il nous faut parcourir30 Kms au fond de la vallée. Et que croyez-vous qu’il arriva…. Pierrot, Bulldog, Panthère et Acidburn foncent comme des malades, enchaînant les courbes à des vitesses inavouables.

Nous rejoignons Beuil par le col de la Couillole (ça ne s’invente pas) par une route étroite et défoncée

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Déjeuner, à Beuil

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Puis descente des Gorges de Cian, et direction St Andrée des Alpes, par une route un peu chiante, surtout sous cette chaleur. Heureusement entre Annot et St André, le col de toutes Aures (1120 m.) Offre un spot excellentissime. Vexé par un tout-droit dans un des premiers virages, Yves ouvre en grand… le grand pied ;


Après une pause au bord du lac de Sainte croix, direction le col d’Allos 2247 m.)


Ca devait bien nous arriver, nous sommes surpris par un orage

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Les 17 Kms de descente, par une route étroite et détrempée se fait sur des œufs, sauf pour Bulldog qui retrouve le climat de son pays et panthère qui dit avoir apprécié… Tous les goûts sont dans la nature.

Ravitaillement à Barcelonnette, puis direction le Saix terme de cette étape, par Gap.

Malheureusement un problème familial Oblige Yves à abandonner ses acolytes.
En conclusion :
Un périple merveilleux, avec des compagnons en or….


A REFAIRE… Moi, j’vous dis….

Le jeudi soir et le vendredi n'y sont pas, je prendrai un peu plus de temps pour vous narrer cette péripécie qui vaut le détour.

Mariage cet après midi...

Alors là je dis BRAVO pour le CR et les photos....c'est super tout ça et ça donne bien envie...

Vivement la suite..!!!

super photos merci ça fait réver !

C'etait une semaine genial. Bon ambiance et rigolade au debut jusqua la fin.

Vraiment du bonheur en terme du paysage et pilotage.

A refaire...

des motards , des virages , de la kawa , des vues imprenable , des photos et un cr au top

s est beau

Exellent !

merci pour le cr, sa donne envie.........

rien a dire,a part que c'est sublime,et si vous recommencez une prochaine fois,dite le bien a l'avance!!!

Vous vous etes fais une belle ballade. Vous confirmerez que les savoies il y a pas mieux pour prendre son pied en moto ( sans être chauvin... )

Bon, personne n'ayant voulu se lancer pour le CR du Jeudi soir, je vais donc tenter de vous narrez cette pette aventure.

Soyez indulgent, je n'ai pas la plume de Nyves.

Comme vous le savez, Nyves ous a quitté vers 20h30 le jeudi pour des raisons familiales, en nous laissons les instructions, adresses et nom du dernier gîtes, qui se trouve à "Le Saix".

Nous partons donc pour La Saix. Petite route viroleuse en nous voici devant les portes de le saix, petit village très sympathique de 80 habitants.

Je m'arrêtes donc pour demander mon chemin à une dame très sympathique, qui m'explique très clairement qu'il est impossible monter au gîte avec nos motos.

Elle appel donc son mari, qui continu l'esplication, et nous explique que pour accéder au gite, il faut passer par un chemin en cailloux qui grimpe dans la montagne.

il nous propose donc d'appeler le gite pour voir si il peut venir nous chercher, réponse négative.

Ce brave monsieur, motard de surcroit, nous propose très gentillement de nous monter au gite à l'aide d'un de ces véhicules, et nous invites donc à aller nous restaurons.

Pendant ce temps, bulldog et Tom si dispute les yeux d'une jolie brune, aux yeux qui respiraient... l'amour on va dire...

Nous allons donc manger à Vaynes, première ville en dessous de saix, et nous revenons au village, ou un petit camion bennes nous attend. Nous garons les motos, grimpons dans la benne, petite fleur monte à l'avant avec cet autochtone, et nous voici parti tous les 8, à une allure d'enfer, 23h30, dans les épingles rythmant ce très étroit chemin en terre. Personnelement je faisais vraiment pas le malin, ça secouait drolement dans la benne.

Enfin nous arrivons au gites, où un charmant monsieur nous accueille, et nous installe dans nos quartiers. Très très bien. Je pense qu'on a tous mis environs 2 à 3 secondes après la touche pour nous endormir.

Réveil à 6h30, car nous devons redescendre récupéré les motos à pieds. Petit café, et c'est parti dans la brousse alpine.

Voici quelques photos pour étailler mes dires :

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Pour conclure, petit regret d'avoir été à le Saix et d'avoir dû empreinter le petit chemin de derrière.
Amis de la finesse bonjour

Franchement super souvenirs, on s'est éclaté, des gens excellents, des maux de ventre tellement on a rigolé.

On repart quand??????

Merci pour cette suite...

pierrot a écrit:[/url]

ah oui des passages techniques

Vous avez bien dû vous éclater! pas trop froid en haut des cols?

Stouf a écrit:

pierrot a écrit:[/url]

ah oui des passages techniques

Vous avez bien dû vous éclater! pas trop froid en haut des cols?

Au col de bonette un peu oui sinon temparature trés agreeable.